
L’éducation impose un combat collectif, pas celui d’un comédien jouant à l’homme d’État

Au sommet de l’État, l’opération Gabriel Attal est réussie : une semaine de plateaux de télévision à disserter sur l’« ascension fulgurante » du « brillant » nouveau Premier ministre. Pendant que l’éducation et l’école espèrent mieux que des belles paroles et attendent toujours d’être placées au centre de toutes les politiques nationales, souligne Natacha Polony, directrice de la rédaction de « Marianne ».
Le constat, les Français l’ont à peu près en tête. Une société tendue, minée par le ressentiment, dans laquelle tous ont bien compris que le mérite et l’utilité commune ne déterminaient ni la richesse ni la reconnaissance. Un pays qui vit sur ses réserves – réserves économiques, patrimoniales, culturelles, réserves de civisme, même – mais qui ne produit plus rien. Et des chantiers en jachère : logement, santé, aménagement du territoire, infrastructures et bien sûr école.
Partager :
- Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Facebook
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre) E-mail
- Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre) LinkedIn
- Cliquer pour partager sur X(ouvre dans une nouvelle fenêtre) X
- Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Telegram
- Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre) WhatsApp
- Cliquer pour partager sur Mastodon(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Mastodon
- Cliquez pour partager sur Threads(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Threads
- Cliquer pour partager sur Bluesky(ouvre dans une nouvelle fenêtre) Bluesky
Articles similaires

Retour du salon de l'aviculture à Evreux
Vous aimerez aussi

Macron : «Les smicards» préfèrent «la VOD» à «une alimentation plus saine»
février 24, 2024
Originaire d’Évreux, il est saunier sur l’ile de Ré
janvier 12, 2024